Dans le jargon philosophique, il s'agit du sophisme «ad hominem» ou si l'on préfère «l'attaque contre la personne». Ce qu'il y a de profondément vicieux dans ce type d'attaque, c'est qu'il discrédite la personne. En rabaissant Mme Maria Elena Boschi au rang d'objet sexuel, on n'aura pas tendance à prendre au sérieux son discours politique. C'est le genre de pelure de banane qui guette bien des femmes malheureusement. Et ce genre d'image a tendance à coller à la peau. Peut-on éviter de telles catastrophes?
Pas facile d'être femme et ministre en Italie
Le ministère italien des Réformes constitutionnelles et des Relations avec le Parlement a pris un virage sexy aux dépens de la nouvelle occupante des lieux. Malgré elle, Maria Elena Boschi s'es...
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