Faut-il absolument inciter nos enfants à choisir une religion?

Selon Montaigne, nul ne devrait être poussé à croire quoi que ce soit. Les croyances devraient être basées sur des choix personnels et sur son propre jugement. Il supporte que ces choix sont valides tant qu’ils ne contreviennent pas à la vie d’autrui. Cependant, dans le cours d’ECR, les religions sont présentées sous une seule facette. Les enfants n’ont pas assez d’information pour faire un bon choix éclairé selon leurs valeurs et le choix de l’athéisme n’est même pas considéré. Cela laisse à croire qu’un élève du primaire qui décide de choisir une religion selon son cours d’ECR n’a pas basé son choix sur un raisonnement basé sur des faits. Montaigne désapprouverait probablement de cette pratique, car elle pousse les enfants dans une voie dont ils ignorent les fondements. De plus, certains de ces enfants se trouvent vexés des pratiques de leurs parents qui ne vont pas dans le même sens que leur religion. Cela va à l’encontre de la vision de Montaigne, car ces actions vont à l’encontre de la tolérance.

« Nature nous a mis au monde libres et déliés; nous nous emprisonnons en certains détroits » - Michel de Montaigne<br /> <br /> Si Montaigne avait dû répondre à cette question, il aurait surement été en désaccord. Selon lui, l’individu doit se faire sa propre idée de ses croyances selon ses propres perceptions du monde. En ce sens, rien ne lui doit être imposé. En se référant à la citation ci-dessus, la notion de liberté est fondamentale pour Montaigne, c’est pourquoi, il serait d’avis qu’il ne faut pas inciter nos jeunes à choisir une religion, car ces derniers ont une liberté face aux coutumes. De plus, les enfants sont des êtres vulnérables et influençables, le cours d'éthique et culture religieuse enseigné dans les écoles primaires pousse donc les élèves à prendre une position face a telle ou telle croyance sans la remettre en question.<br /> <br /> D’un point de vue personnel, je pense que nous ne devrions pas inciter les enfants à choisir une religion telle quelle soit. En effet, il faut se connaitre soi-même pour être en mesure de se sentir à l’aise dans une religion quelconque, et cela prend du temps et une certaine maturité, maturité que les enfants de primaire ne possèdent pas tous. Aussi, Montaigne disait : « Pour être acceptable, une coutume se doit d’être raisonnable et juste. » En d’autres mots, une croyance imposée à autrui n’est pas acceptable et logiquement pas raisonnable ni juste car la volonté de se rattacher à cette croyance ne vient pas de l’enfant lui-même mais d’un tiers. Afin de consolider ce propos, il faut se référer à la deuxième partie de la citation. Les « détroits » mentionnés par Montaigne peuvent s’apparenter ici aux idées et à la croyance des autres concernant une religion. Il ne faut donc pas s’y emprisonner ni s’y conformer sans la remettre en question.

La réponse à cette question n'est pas compliquée, non. Avant, la religion était très importante et c'était une chose qui nous était imposée dès la naissance. Par contre, aujourd'hui c'est d'autres choses. C'est la société qui tente de nous informer que la religion est importante et que chacun de nous doit un minimum avoir des connaissances sur le sujet. En général, tout se passe au niveau de l'éducation plus précisément, au primaire et secondaire. On nous donne des cours comme éthique et culture religieuse pour nous en apprendre sur le sujet ou pour nous aider à prendre des décisions. Mais faut se rappeler que le public cible de ces cours sont, de simple enfants ou de jeunes adolescents. À cet âge, ces derniers sont très influençables et il se peut très bien qu'ils se trouvent dans une situation où ils sont obligés de croire à quelque chose sans même savoir c'est quoi. Cela va dans le même sens que la façon de penser de Montaigne, il a toujours dit « nous établirons alors notre vrai liberté face à l'autrui en évaluant nous-mêmes notre être propre». En d'autres mots, on doit se connaître avant de pouvoir penser ou avoir une opinion sur quoi que ce soit. Un enfant de 8 ans ne peut pas avoir une raisonnement ou une idée logique face à la religion, ce qu'il veut lui, c'est jouer ou déranger ses frères et sœurs. Il faudrait alors laisser passer un peu de temps pour qu'il prenne de la maturité et ainsi les laisser bâtir leur propre façon de penser selon leur expérience de vie. Michel de Montaigne aurait dit : « laissez-les jouir de la vie, ils auront moins de regret face à la mort ». Cette citation conclu très bien ce petit texte face à la problématique.

D'après l'école alternative de Rousseau, les personnes chargées de l'éducation de l'enfant doivent le laisser se découvrir et explorer le monde extérieur. Il doit pouvoir laisser libre cours à sa curiosité en fonction de son interêt sur les différents sujets de la vie en suivant plusieurs principes dont celui du respect de la liberté et de l'évolution naturelle de l'enfant, la prédominance de la conscience sur la science ainsi que lui apprendre à s'imprégner de ces éléments pour devenir un Homme autonome avec un jugement critique sur la société et la nature.<br /> Dans cet article est évoquées l'importance du cours d'Éthique et Culture religieuse avec l'introduction à différentes religions et façon de célébrer une croyance contrairement à un mode d'éducation passé favorisant une séparation entre enfants issus d'une éducation catholique ou non indépendamment des convictions de l'enfant.<br /> La méthode d'éducation de Rousseau est donc un bon plan car il empêcherai l'endoctrinement dès le plus jeune âge avec une mise en avant de la personnalité naturelle de l'enfant et de son expression. Cependant, pour que cette école soit efficace, il faut que le sujet soit placé dans un environnement présentant différentes cultures, différentes philosophies ou encore différents modes de vie. Ainsi, l'enfant pourra s'orienter naturellement vers la vie qu'il est censé mener selon qui il est au fond. Le voyage pourrait être un moyen de permettre de changer d'environnement et de stimuler ce besoin de découverte mais aussi, et plus simplement, ce cours qui permet de mêler différentes religions.<br /> L'enfant ne doit donc, selon moi, pas être inciter à choisir une religion car tous les esprits ne nécessitent pas de passer par la croyance pour tenter de répondre aux grandes questions de la vie.

Selon le modèle éducatif de Rousseau, le premier principe consiste au respect de la liberté naturelle de l'enfant. Ce principe vise à une heureuse éducation de l'individu toute orienté vers la vie. L'enfant ne sera pas confronté à des obligations d'apprentissages ,mais sera libre de choisir, de découvrir et d'apprendre avec plaisir et intérêt dans un environnement favorable à la diversité culturelle. Avant, dans nos écoles, il y avait le cours de morale et le cours de catéchèse. Ces deux cours séparaient en deux classes les enfants; les chrétiens et les non chrétiens selon la volonté des parents. Ce mode de fonctionnement va à l'encontre du premier principe de Rousseau puisque l'enfant n'est pas exposé à la diversité car il est seulement avec des gens appartenant au même groupe que lui et n'apprend pas autres choses que ce qu'il connait ( le christianisme). Depuis quelques années, le cours à changé pour le cours d'écr ( éthique et culture religieuse) qui rassemble tous les enfants ensemble et qui mets de l'avant diverses cultures religieuses. Ceci permet à l'enfant d'avoir une ouverture d'esprit sur le monde spirituel qui l'entoure et d'ouvrir ses horizons. La population étant de plus en plus multiculturelle, l'enfant doit avoir une base sur les différentes religions que ses camarades pourraient pratiquer et faire sa propos opinion. Nous devons laisser le choix à nos enfants de décider de leur propre religion ou de prendre le meilleur de chaque qui le rejoint le plus pour fonder sa propre personne tout en étant bien informé par des intervenants. Au final, la liberté de choisir augmente l'intérêt de l'enfant face à l'éducation et l'aide à mieux se développer sans sentir de pression de la part des autres.

Je crois que non. Il serait même déconseillé de les inciter à faire partie d'une communauté religieuse. Selon Karl Marx, la religion est une façon pour l'homme de se plonger dans un monde illusoire. Celui-ci croit s'évader loin des problèmes, alors qu'il s'y enfouit profondément. En effet, l'Église brime la liberté de ses paroissiens. Elle les incite à entrer dans un monde idéal où ils se soumettent et apprennent à accepter leur condition telle qu'elle est, bonne ou mauvaise. Celle-ci fait croire aux gens que seul Dieu peut les aider, qu'il représente le bonheur absolu. Marx disait que ceux qui ont la foie '' ne prennent même pas conscience de l'aliénation dans laquelle ils sont plongés .'' La religion représente donc un danger pour l'homme, puisqu'elle l'empêche de réfléchir, d'être totalement conscient. C'est d'ailleurs pourquoi les dirigeants de l'État utilisent la religion pour manipuler ses citoyens. Personne ne veut que son enfant se soumette à un homme illusoire (Dieu) , pas plus qu'il ne veut le voir soumis à un autre être humain. Si l'aliénation religieuse est étroitement liée à l'aliénation politique, c'est les inciter à se plier devant l'État et devant tous. La véritable question serait donc: Pourquoi inciter nos enfants à choisir une religion?

Je suis complètement en désaccord face à cette question. On ne doit en aucun cas obliger les enfants à croire en une religion précise car ils sont trop jeunes pour prendre une telle décision. Comme il est écrit dans l’article, cela crée des tensions dans les classes, ce qui n’est pas recommandé pour un enfant. Cela peut conduire à du stress et ce n’est pas bon pour les jeunes. Karl Marx a dit, dans « L’aliénation religieuse », que la religion demande aux croyants, en règle générale, de se résigner, de se soumettre, d’accepter leurs conditions misérables d’existence. Comme nous le savons, les enfants sont naïfs et croient en n’importe quoi comme par exemple, au père noël, mais ce n’est pas parce qu’un enfant est naïf qu’il faut décider pour eux. Voici une citation du philosophe qui décrit ce qu’il pense de la religion : “La religion est l’opium du peuple”. L’opium ici signifie une cause d’engourdissement morale et intellectuelle. Donc, on comprend tous de suite la pensée de Marx. Il est contre la religion et trouve que cela abrutit la population. Marx déclare que la religion n’est qu’un bonheur illusoire en compagnie d’un Dieu imaginaire. On peut certainement conclure, à ses propos, que Karl Marx n’apprécie pas trop la religion et nous sommes portés à croire que s’il serait face à cette question, sa réponse serait logiquement non. Donc, nous ne pouvons pas et nous ne devons pas obliger un enfant à faire un choix si complexe et qui demande réflexion. Si l’enfant veut adhérer à une religion, cela se fera plus tard lorsqu’il sera un adulte capable de raisonner par lui-même. (Philosophe: Karl Max)

Le thème de la religion est un sujet qui apporte beaucoup d'opinions différentes. Suite à la lecture de cet article, j'ai tout de suite été en désaccord avec cette question. Selon moi, un enfant ne devrait pas être incité à choisir une religion. Un enfant, est trop jeune pour être associer à des coutumes et des croyances. L'article me mène à la philosophie de Montaigne qui est de se faire une propre idée de nos croyances selon notre propre perception du monde.Dans l'article on parle du cours d'éthique et culture religieuse donné dans les écoles primaires. À cet âge, un enfant est très influençable. Ce cours fait donc qu'inciter les jeunes à choisir une religion. L'enfant se retrouve donc obligé de croire en quelque chose qu'il ne croirait peut-être pas si il n'y avait personne pour lui enseigner toutes ces coutumes afin de le faire remettre en question sur ce qu’il croit et ce qu’il veut croire ou non. C’est pourquoi selon moi un enfant ne devrait pas être incité à choisir une religion, car comme Montaigne disait : pour être acceptable, une coutume se doit d’être raisonnable et juste. Il serait donc préférable de laisser l’enfant devenir plus mature afin qu’il apprenne à savoir qui il est, et ensuite se faire une idée de la religion.

Le thème de la religion est souvent sujet à controverse, dans le cas présent, le fait d'adopter un cours sur les différentes éthiques et cultures des religions est, selon moi, une perte de temps et de ressources dans l'éducation des enfants. En effet, la scolarité des enfants devrait exclure toute forme de religion quelles qu'elles soient, l'enfant devrait être éduqué à avoir un esprit critique au lieu d'être indirectement formaté à croire en une pseudo entité divine dont l'existence n'a jamais était prouvé par des faits rationnels et scientifiques. Le concept de " dieu" est souvent utilisé pour expliquer quelque chose que l'homme ne comprends pas , c'est un signe d'ignorance. Essayer d'inculquer indirectement une religion à une personne dés son plus jeune âge alors que celle-ci est incapable d'avoir assez de recul pour se faire sa propre opinion de la chose , revient à le priver d'une part de sa liberté de pensée. La plupart des croyants ont tendance à croire qu'avoir une religion est nécessaire pour inculquer les bonnes valeurs à leurs enfants, pour ma part, je pense que la religion n'est en aucun cas nécessaire à l'inculcation de valeurs humaines, ce n'est qu'un moyen de facilité sans fondement rationnel et logique.

Selon la pensée de Rousseau, l'homme naturel possède la liberté de choisir de répondre ou non à son instinct. Il est donc libre de choisir son mode de vie, ce qui inclut sa religion, s'il y en a une. Selon le modèle éducatif rousseauiste, le respect de la liberté naturel de l'enfant est à la base de toute chose. Il est donc primordiale pour lui de ne pas imposer un choix religieux à un enfant. Vient ensuite le respect de l'évolution naturelle de l'enfant. Si celui-ci décide de choisir une religion, il est libre de le faire, mais encore une fois, il n'y est jamais obligé. Rousseau prône donc la liberté avant toute chose et est donc nécessairement en désaccord avec l'idée d'imposer une religion à quelqu'un dès son jeune âge puisque l'enfant est toujours en phase d'évolution et d'apprentissage. Il n'est donc pas encore apte à prendre ce genre de décision de son plein gré, sans être influencé. Par contre, Rousseau n'est pas contre la religion. Au contraire, il y accorde une certaine importance. Il ne veut juste pas qu'il y ait une forme d'imposition quelconque, puisqu'il prône la liberté de choix.

Selon moi, Freud dirait que la religion joue un rôle très important dans la vie, voir crucial, et qu'il est donc très important qu'elle soit présente dans la vie d'un enfant pour son bon développement. En effet, selon lui, la religion est au service des besoin et à une dimension utilitaire. Il dirait que la religion à plusieurs intérêts; elle propose une conception du monde, apaise les craintes, nourrit les espoirs causés par l'angoisse des questions existentielles et donne à ses pratiquants un système de conduite, un code moral. Il soutiendrait également que le savoir a des limites, la croyance n'en a pas, et qu'il est très important pour son bon développement qu'un enfant ait une religion afin de le guider, de l'aider à bien évoluer dans la vie et à faire son chemin.Tout cela sans, bien évidemment, discréditer la sciences, à laquelle il accorde également son importance.

Si Nietzsche était toujours parmi nous, il trouverait inconcevable d'imposer à nos enfants un cours portant sur différentes religions, sous réserve de peut-être les influencer à se conformer à l'une d'entre elles. Nietzsche répondrait sans aucun doute non à cette question, puisque « faire mourir Dieu » est selon lui essentiel afin d'accroître constamment le développement de sa personne. En effet, alimenté par ses désirs, ses instincts et ses passions, l'homme parvient à un dépassement de soi en se laissant guider par sa créativité. Cependant, les morales des religions obligent une obéissance ainsi qu'une soumission aux règles et aux dogmes de la part de ce dernier, l'empêchant alors de choisir librement ce que bon lui semble. Par conséquent, l'enseignement de diverses religions à de jeunes enfants risque de faire perdre leur instinct naturel en s'identifiant à une religion trop tôt, leur privant donc de s'émanciper en toute liberté. Personnellement, je suis d'avis que d'enseigner ce cours à des enfants en bas âge peut également nuire à leur jugement face aux autres qui les entourent. Effectivement, identifier les élèves à leur religion est selon moi une des sources d'intimidation dans les écoles.

Les êtres humains ne devraient être définis que par ce qu’il sont, ce qu’ils font et ce qu’ils choisissent d’être. Ainsi, un cours comme celui de l’éthique et culture religieuse offre, aux étudiants qui le suivent, des boîtes bien précises parmi lesquelles ils peuvent choisir, sans toutefois aborder tous les aspects de la question. La liberté humaine s’exprime dans sa capacité et son obligation à faire des choix. Toutefois, même si elle s’abstient de faire un choix, une personne personne choisit de ne pas choisir. Elle reste, de cette façon, libre. L’athéisme, dont on ne parle pas aux jeunes à l’école, vient de ce choix de ne pas choisir. Toutefois, si les jeunes ne savent pas que l'abstention est une option, l’athéisme ne devient plus une option. Si on croit en l'existence de chacun individuellement et en leur liberté fondamentale, qui sont définies par toutes ces possibilités de choix, il est impossible de croire en une existence supérieur qui rassemble tous, c’est-à-dire Dieu. Par contre, l’humain a et aura toujours la possibilité de faire comme autrui et accepter ou refuser les situations qu’on lui propose, comme les religions. Celles-ci ont généralement tendance à accorder des caractéristiques préconçues à ses pratiquants. Elles accordent ainsi à une personne une définition qu’elle ne s’est pas donnée elle-même. Une étude d’une plus grande vision des choses lors des cours d’éthique et culture religieuse pourrait permettre aux jeunes de savoir qu’il leur est possible d’accepter ou de refuser la définition que la religion dont leur famille les dotent dès la naissance et d’être qui ils veulent. Ils pourraient ainsi prendre pleine conscience de leur existence et de leur liberté.

Selon la pensée de Friedrich Nietzsche, il ait aisé d’associer religion et restriction. Si l’on regarde à long terme, nous pouvons constater que la religion a toujours été source de restrictions et d’obligations donc elle bride nos désirs, nos passions et elle fait passer les plaisirs charnels pour de simples broutilles sans importances, de plus, elle nous instaure des règles à suivre à la lettre toute notre vie. Alors pourquoi devrions-nous pousser les enfants, qui sont en pleine recherche de compréhension, à choisir une religion donc ils ne sont même aptes à comprendre toute la portée? Si nous regardons plus en profondeur les cours d’ECR ne laissent pas vraiment d’options puisqu’ils restent centrer sur la religion et poussent nos jeunes à choisir le chemin auquel ils s’identifient le plus, celui qui rejoint leurs valeurs morales. Il serait donc peut-être plus brillant de donner des cours de philosophie au primaire et de laisser l’ECR au secondaire, ainsi les enfants seraient plus aptes à penser par eux-mêmes et à démêler le vrai du faux avant de choisir un chemin religieux, ou l’absence de ceci, qui ne leur correspond pas.

Dans cet article, on se questionne sur le contenu du cours d’éthique et culture religieuse (ÉCR), offert dans les écoles primaires et secondaires du Québec. Dans le présent cas, il n’est question que des écoles primaires. On relate qu’on enseigne aux jeunes tous les aspects des religions existantes et, lors des évaluations, ils sont amenés à choisir une religion plutôt qu’une autre ou alors une fête religieuse plutôt qu’une autre. Par contre, il ne sera jamais proposé à l’enfant de simplement se questionner à savoir s’il désire s’identifier à une religion ou non. L’article m’apporte à l’esprit la philosophie de Michel de Montaigne. En effet, ce dernier prône fortement la connaissance de soi. Il croit d’ailleurs qu’il s’agit d’un long processus, car l’humain est un sujet qui change constamment, nous nous devons donc d’être toujours attentif à ce que nous sommes. Les enfants en âge d’aller à l’école primaire, n’ont qu’une petite partie de ce processus d’effectuée. Nous leur demandons donc, de choisir une religion qui correspond à leurs valeurs et à leur mentalité, sans qu’eux-mêmes ne soient pleinement conscients de ce qu’ils aiment, leurs principes moraux et bien d’autres aspects. En outre, il nous incite à avoir une certaine ouverture d’esprit face aux différentes coutumes et mœurs existants. On peut donc tirer de ce principe qu’il serait avantageux que chaque individu explore toutes les possibilités qui lui sont offertes plutôt que de se ranger dans la religion que ses proches ont choisi d’adopter, sans se poser de questions. Également s’il choisissait tout de même une religion par défaut, il pourrait venir à la trouver ennuyante, car comme Montaigne le croyait, «les coutumes […] peuvent devenir pénibles quand obligation lui est faite de les suivre à la lettre.». Montaigne ne suggérerait donc pas d’enlever ce cours, mais plutôt de laisser l’enfant libre de choisir s’il veut s’associer à une religion, même à ce jeune âge, et si oui, laquelle.

Opinion par Montaigne :<br /> La religion est un sujet très controversé. Les cours d’ECR, donnés à l’école, permettent aux élèves d’en connaitre plus sur différentes pratiques religieuses. Selon Montaigne, il faut avoir un savoir être à soi qui permet la découverte de son être propre. Ce qui veut dire que ces cours sont importants pour que les jeunes puissent choisir eux-mêmes une religion et non choisir selon leurs parents. Montaigne croit aussi qu’il faut nous construire une morale nous-même donc, ces cours sur la religion à l’école aiderait grandement les jeunes a trouvés où ils s’en vont avec leurs croyances. Selon ce philosophe, tout être humain doit se limiter à ses propres plaisirs, ce qui inclus le fait de choisir la religion qui nous intéresse afin que notre choix nous apporte de la joie. Tout le monde a droit à la liberté d’être ce qu’il veut, de faire ses propres choix.

Opinion par Montaigne :<br /> La religion est un sujet très controversé. Les cours d’ECR, donnés à l’école, permettent aux élèves d’en connaitre plus sur différentes pratiques religieuses. Selon Montaigne, il faut avoir un savoir être à soi qui permet la découverte de son être propre. Ce qui veut dire que ces cours sont importants pour que les jeunes puissent choisir eux-mêmes une religion et non choisir selon leurs parents. Montaigne croit aussi qu’il faut nous construire une morale nous-même donc, ces cours sur la religion à l’école aiderait grandement les jeunes a trouvés où ils s’en vont avec leurs croyances. Selon ce philosophe, tout être humain doit se limiter à ses propres plaisirs, ce qui inclus le fait de choisir la religion qui nous intéresse afin que notre choix nous apporte de la joie. Tout le monde a droit à la liberté d’être ce qu’il veut, de faire ses propres choix.

Le cours d’ECR est important pour recevoir l’informations dites sur les religions et ensuite se forger une opinion nous-même car « l’homme est un sujet changeant et varié » selon Montaigne. Il faut juger par soi-même pour savoir quelle est le contenu important au sein d’une religion pour une idée bien précise. De plus, Montaigne préconise l’avoir de ses propres règles morales pour juger de soi-même. Les jeunes doivent au moins connaitre une base sur certaine religion pour réfléchir par la suite. Nous sommes tous libres de croire ou non à une religion et à ses croyances. Montaigne prône aussi la tolérance, quelque chose de très important face aux autres religion que la nôtre. Donc, les jeunes doivent se servir de leur jugement pour avoir une opinion bien distincte chacune l’une de l’autre.

En lisant cet article, j’ai trouvé que les vérités qui y sont dites étaient réelles, mais également très décevantes. En effet, depuis longtemps, l’éducation au Québec donne des cours d’éthique et culture religieuse au niveau du primaire et du secondaire. Cependant, ces cours mettent souvent l’accent sur l’importance de choisir une religion. Ce qui est, à mon avis, très dommage pour les enfants. Comme le démontre le modèle éducatif rousseauiste, « un élève entre 12 et 15 ans contraint par son maître à se servir de sa raison fera souvent semblant de raisonner sans pour autant en éprouver le besoin véritable. » Il faut laisser le temps à l’enfant de développer ses idées et de faire en sorte qu’il éveil son esprit. Alors lorsque l’éducation impose un choix de religion à un enfant de moins de 15 ans, il ne respecte pas l’évolution naturelle de l’enfant. Une des caractéristiques essentielles et fondamentales dans la vie est la liberté de choisir et de modifier ses choix selon l’évolution de ce qui se passe dans notre vie. La société met de la pression sur les jeunes afin qu’ils s’identifient à une religion rapidement cependant, faire de l’enfant un adulte est un processus qui peut prendre une vie entière. Il faut, comme le disait Rousseau, « apprendre à être une personne à part entière et apprendre à vivre heureux, tel est le métier de l’être humain. »<br /> <br /> Quoi de plus judicieux que d’avoir une ouverture d’esprit face aux religions et de pouvoir choisir selon notre évolution et nos désirs!

Selon Montaigne, chaque individu a la responsabilité de construire sa propre définition de lui-même. Or Montaigne serait probablement d'avis que nous ne devrions pas inciter un enfant à avoir une religion parce que l'enfant n'a pas à se faire dire quoi pensé ou encore quoi faire. Les parents n'ont pas à imposé à leur enfant un mode de pensée. Ainsi, Montaigne prône un retour sur soi-même ce qui signifie que c'est à l'enfant d'avoir une réflexion sur ce qu'il veut croire et ce qu'il veut faire. Comme Montaigne le fait pour lui-mème, il nous incite, en somme, à nous peindre méticuleusement ce qui autrement dit signifie qu'il est notre devoir personnel de choisir notre philosophie de vie. Cela étant dit, l'enfant n'a pas à choisir de religion puisqu'il a le droit de réfléchir à ce qu'il veut ou non croire et ses parents se doivent d'accepter ses choix puisque comme le répète Montaigne, chaque individu à la responsabilité de construire sa propre définition de lui-même.

Cette question, très pertinente, à créer plusieurs opinions et oppositions à son sujet. D’un côté, nous avons ceux qui pense qu’il est très important que nos enfants soient conscient et prennent position dans cette religion tandis que de l’autre, il y a ceux qui laisse notre progéniture choisir de leur propre croyance. Face à ce dilemme, Descartes s’exprime sur ce sujet. Étant croyant, il n'est pas contre la religion qui permet à chacun de trouver le lien qui l'unit au tout qu'il appelle dieu. Cependant, il critique l'église qui est dogmatique et qui impose à tous le même chemin pour croire. Son travail a visé à montrer à l'église qu'elle aurait plus d'intérêt à laisser plus de liberté aux fidèles, car l'homme trouve en lui-même et selon sa propre voie le lien et les preuves qu'il recherche. On peut donc comprendre que les écoles devraient avoir cet intérêt à laisser les jeunes libres pour faire leur propre choix. Pour lui, il suffit de bien juger pour bien faire.

Plusieurs pensées divergent à ce sujet, l'un pense qu'il faut inciter les jeunes à se faire une tête à propos de la religion et en leur incitant à choisir la bonne tandis que d'autres croient qu'il est préférable de les laisser faire leur propre cheminement dans ce choix de vie. Face à cette question, un grand penseur du nom de Jean-Jacques Rousseau pense que dans l'éducation de nos jeunes, la religion ne devrait pas servir de fondement à l'apprentissage. Cependant, la liberté et la nature, elles, sont les fondements de l'apprentissage qui devraient être priorisés. Ceci dévoile qu’au lieu d'inciter les enfants à choisir une religion, nous devrions plutôt les considérer comme des enfants et de ce fait, respecter leur évolution naturelle. Par exemple, au lieu de leur infliger une façon de penser à propos des religions nous devrions, les laisser évoluer d'eux-mêmes et les laisser découvrir par eux-mêmes leurs convictions et leur propre façon de penser. À la lumière de ce qui précède, Jean-Jacques Rousseau répondrait à ce questionnement par ces arguments et rajouterait qu'afin de former un citoyen idéal, libre et préoccupé par le bien commun, il faudrait suivre ces fondements de l'apprentissage au lieu d'inciter nos enfants à choisir une religion.

Pendant plusieurs années, la religion était quelque chose qui nous était imposer dès notre naissance. La religion prenait une grande place dans la vie de nos grands-parents. Ainsi, dépendant de la famille dans lequel nous sommes nés notre religion était déjà décidé pour nous. Cependant, de nos jours la religion n’est plus autant présente. Devrons-nous inciter les enfants à choisir une religion? Selon Montaigne, non, nous ne devrions pas inciter les jeunes à absolument choisir une religion. Montaigne dit que nous sommes tous différents et chacun devrait avoir droit de choisir son chemin. Ce n’est pas tout le monde qui croit en la religion, alors pourquoi inciter une personne de choisir une religion quand celle-ci ne désire pas vivre sa vie de cette façon? En effet, un enfant n’a même pas conscience de ce qu’est la religion, donc, pourquoi l’insister à faire un choix comme celui-là quand l’enfant ne connais même pas encore en tant qu’individu.

Point de vue selon Montaigne:<br /> <br /> Je pense que la religion est une chose très importante dans certains cas et dans certains esprits. Par contre, il devrait être à l'enfant de décider si oui ou non il veut suivre une idéologie en particulier ou si il veut croire simplement en la vie. Je suis d'avis que nous devrions être ouvert face aux religions qui nous entourent. En effet, tant qu'il s'agit d'une religion juste et raisonnable, je crois sincèrement qu'il est très bien d'avoir foi en quelque chose de plus grand que nous et de le transmettre a nos enfants. Je suis aussi très ouvert aux différentes religions qui existent dans le monde et je crois qu'il n'y en a pas une meilleure que l'autre dans le domaine de la religion. Il faut seulement faire attention de ne pas devenir un esclave de cette façon de penser et de rester dans l'idée que tout le monde on une façon de voir les choses et rester ouvert au monde et aux différentes religions dans notre univers. Je pense sincèrement que d'avoir une religion pour les enfants permettrait de mieux comprendre le monde extérieur et de croire en quelque chose de plus grand que tout ce qui nous entoure.

La religion est un sujet très tabou. Pendant une très longue période de temps, la religion prenait une grande place dans la vie de toute la population. Maintenant, pour certains, la religion doit être inculquée par les parents ou bien même par l’école. Pour d’autres, la religion est une décision personnelle. Pour le philosophe Montaigne, chaque individu a la responsabilité de construire sa propre définition de lui-même, ce qui veut dire que n’importe qui sur la terre n’est pas obligé de croire ou de pratiquer une religion. En effet, Montaigne a été élevé toute sa vie dans la religion catholique, et ce, jusqu’à sa mort. Mais, malgré tout, il ne croit pas en « l’égalité », car, pour lui, peu importe si tu pratiques une religion ou non, tu es sur le même pied d’égalité que tout le monde.

Si Montaigne serait toujours en vie aujourd’hui, il encouragerait les gens à décider d’eux-mêmes. Ils ne sont pas forcément obliger de choisir une religion ou être associé à un groupe puisque selon lui tout le monde est différent et ne veulent pas tous la même chose. J’appuis cette pensé puisqu’il est vrai que une personne ne veut pas ou n’est pas complètement comme la personne qui est face d’elle. La maturité joue un rôle important aussi, car on ne peut pas choisir sans savoir ce que sa implique ou n’implique pas. Comme le disait Montaigne le monde change chaque jour. (Tenant compte que Montaigne soit dans notre génération, où la religion n’est pas autant importante qu’a son époque)Donc on peut dire que la religion d’aujourd’hui n’est pas comme hier. Elle n’implique pas nécessairement les mêmes choses. Donc la personne concernée doit être sûr d’avoir une certaine connaissance sur celle-ci. Donc pour conclure, on peut dire qu’un enfant ne peut pas prendre une décision sur une religion puisqu’il ne se connait probablement pas lui-même ou ne sait pas ce qu’il veut.

Si Montaigne vivait encore aujourd’hui il serait surement d’avis qu’il ne faut pas inciter nos jeunes à choisir une religion. Je pense que nous ne devrions pas entraîner nos enfants dans aucune religion mais bien les laisser choisir par eux-mêmes une fois qu’ils sont arrivés à maturité plutôt que leur en imposé une dès leur plus jeune âge. Premièrement, il faut se connaitre soi-même pour être capable de s’identifier dans une religion quelconque, et cela prend du temps et une certaine maturité. C’est pourquoi il serait optimal de joindre une religion, par nous-même, et plus tard dans notre vie quand nous savons réellement qui nous sommes. De plus, Montaigne nous encourage à garder un esprit critique par rapport aux mœurs et coutumes qui nous entourent et de rester ouvert sur celles des autres. C’est pour dire qu’il ne faut pas adopter aveuglément la religion de nos parents, mais plutôt se remettre en question et de ne rien prendre pour acquis. De surcroit, Michel de Montaigne accorde beaucoup d’importance à l’amitié et il insiste que nous formons des liens avec les personnes qui nous ressemblent le plus. C’est pourquoi il est d’autant plus important de choisir sa religion pour s’entourer de personnes qui partagent notre façon de penser et nos valeurs.

Dieu a été crée par l'homme afin de répondre a certain mystère de la vie donc il ignorait les réponses. Le fait de pensée que Dieu est présent partout et surveille tes moindres gestes force l'homme a se comporter selon la parole de Dieu. Cette parole est divine et ne peut-être contesté. Pour eux. la parole de Dieu est une certitude. Dieu a créé notre univers et décide a notre place de ce qui est bien et ce qui est mal.<br /> <br /> Si l'homme a cru a toutes c'est écrit religieux c'est par manque de connaissance. La religion n'avait <br /> pas intérêt a ce que l'homme s'instruise. En effet, plus on s'instruisait, plus on trouvait des réponses scientifique aux mystères. D'ailleurs, la religion était autrefois en guerre contre la science car la science donnait une réponse scientifique aux mystères ce que la religion attribuait a Dieu. Darwin proposait a l'époque une tout autre vision de l'évolution que celle de la divinité. Sacrilège. Ce que disait Darwin sur la religion était que « la Science n'a rien à faire du Christ ». La science a peu de certitudes, mais de plus en plus de preuves, tandis que la religion possède des certitudes mais peu de preuves. Si l'homme avait eu les réponses scientifiques, la religion n'aurait pas une si grande importance aujourd'hui et l'homme serait selon moi plus évolué.<br /> <br /> <br /> Quand a inciter nos enfants à choisir une religion quelconque qui est archaïque, qui ne favorise pas la contestation de la parole de Dieu et qui n'incite pas nos jeunes a se questionner et bien je répond, NON. Aujourd'hui, les pays les moins instruit sont habituellement les pays les plus croyant. <br /> <br /> <br /> <br /> Aujourd'hui, dans les cours d'éthique et culture religieuse on ne devrait pas parler de Christianisme, de Bouddhisme ou tout autre religion mais de science car la science est universelle peut-importe tes origines.

Montaigne n'aurait pas une pensée bien différente de celle de l'auteur qui se résume à vouloir enlever les cours d'éthique et culture religieuse de nos écoles. Au fond à quoi servent-ils? Sont-ils réellement nécessaire à la recherche du bonheur tant bien convoitée par Montaigne? Je pense plus qu'ils y nuisent. <br /> En effet, selon Montaigne, la recherche du bonheur se fait au travers de cinq aspects différents, l'un d'entre eux, le savoir être à soi, défend ce point de vue. Ce dernier dicte que ce ne sont pas les actions qui doivent déterminer qui on est. En lien avec le sujet de l'article, ce ne sont pas les prières du matin, du midi et du soir ni les mets qu'on mange ou encore l'habit qu'on doit porter qui vont nous définir en tant qu'homme. Il est essentiel de dépasser les coutumes et célébrations religieuses pour être en mesure de se connaître et de grandir sans avoir à suivre un chemin qui t'as été destiné, car selon ce philosophe le but ultime de l'être humain est de construire sa propre définition de lui-même.

Si Montaigne serait toujours en vie aujourd’hui, alors il répondrait probablement à cette question : non, il ne faut pas inciter nos jeunes à choisir une religion (s’il serait vivant à cette époque-ci, alors sa conception de religion serait probablement différente de celle d’autrefois).<br /> La raison est que tout d’abord, Montaigne croit profondément que le but ultime de l’être humain est de devoir être lui-même, s’assumer tel qu’il est, et surtout, s’aimer (humblement). Alors, pourquoi devrions-nous inciter un enfant à choisir une religion à laquelle lui-même ne croit pas et ne se reconnait pas? Par contre, s’il a tendance à croire à une religion en particulier, et bien tant mieux, puisqu’il aura réellement foi en ses croyances et ce ne sera pas quelque chose en laquelle on l’aura influencé (il aura fait ses propres choix). De plus, il ne faut pas oublier que ce ne sont que des enfants, alors bien évidemment, à cet âge nous ne sommes pas totalement conscients de nos choix et de leurs conséquences, encore moins quand on doit choisir sur un sujet aussi sérieux!

Au Québec, on a sorti les religieux des écoles, mais on a oublié, sciemment ou pas, de sortir la religion de notre système d’éducation. On a remplacé le cours de religion catholique par un cours d’Éthique et Culture Religieuse. À quelles fins, nul ne le sait vraiment. Pour faire plaisir aux curés, pour courtiser les pratiquants? Peu importe. À mon sens, l’étude des religions n’a rien à voir avec l’éducation. Ça fait partie des intérêts personnels qu’on doit approfondir par soi-même.<br /> <br /> Je lisais dernièrement un article sur le philosophe Frédéric Lenoir, l’auteur de "Philosopher et méditer avec les enfants". Ce philosophe propose d’enseigner la philosophie dès le primaire, et à mon avis personnel, dès la première année. Quelle bonne idée ce serait de remplacer l’affreux cours d’Éthique et Culture Religieuse par de la philosophie.<br /> <br /> Au lieu de se faire bourrer le crâne sur des pratiques religieuses moyennâgeuses, l’enfant apprendrait à réfléchir et à exprimer son idée sur les sujets les plus divers. Les quelques exemples mentionnés par ce Lenoir tendent à démontrer que l’enfant en bas âge est parfaitement apte à philosopher. <br /> <br /> Il ne faut pas oublier que le cours d’ÉCR québécois est une niaiserie imposée par nos gouvernements pour essayer de satisfaire toutes les religions. Y a-t-il de l’électoralisme derrière tout ça? Je n’en doute pas une seconde. Les intérêts des partis politiques importent très peu quand il s’agit de développer des enfants. Imaginez, dans le cours d’ÉCR, l’athéisme ne serait même pas enseigné. Tu parles d’un choix éclairé quand l’enseignement t’amène à penser qu’il faut absolument croire en quelque chose qui n’existe pas.<br /> <br /> Philosophons, sortons des contes de fée et petites croyances enfantines. Les religions empêcheront toujours l'évolution du genre humain.