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Chouette philosophie!

La chouette de Minerve (déesse romaine de la sagesse et de la science) symbolise la philosophie. Ce n’est qu’à la tombée de la nuit que la mythique bestiole prend son envol. Avec ses grands yeux allumés, elle nous incite à croire que la nuit est davantage propice à la réflexion et nous permet même de voir plus loin. Pour s’en convaincre, il faut savoir que la portée de l’œil durant le jour est d’à peine quelques kilomètres, alors que pendant la nuit nous percevons des étoiles et des galaxies situées à des millions d’années-lumière… Cher visiteur, ce blog se présente donc comme une chouette invitation à tenter de voir plus loin, plus clair et plus en profondeur. Bonne réflexion !

Sommes-nous conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons?

Publié le 26 Avril 2017 par La chouette

Notre allié américain est-il une police mondiale de la paix ou un intimidateur qui ne pense qu'à ses propres intérêts? Poser la question, c'est un peu y répondre...

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T
Il est dans la nature humaine de penser que nous agissons en étant dans notre bon droit, la notion de bien et de mal est subjective, propre à chacun et sont des notions fortement influencées par la société et la culture. Selon Skinner, l'être humain serait le produit du milieu ( ce qu'on appelle le béhaviorisme skinnérien ) . Sommes nous donc conditionnés à croire que nous faisons partie du camp des justes ?<br /> D'un point de vue historique, ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire et qui sont libres d'adopter le rôle qui leurs convient, c'est à dire le rôle du bon. Car cela offre une excuse valable pour toutes atrocités ou crimes commis envers autrui comme par exemple lors des guerres mondiales. Il est d'autant plus facile de conditionner tout un peuple en lui inculquant l'idée que son pays est irréprochable et qu'il n'a jamais commis d'atrocités ( il n'y a qu'à regarder ce que le système scolaire inculque aux élèves en ne leurs montrant que le point de vue des vainqueurs ). Les informations qui sont à la disposition du peuple sont triées et sélectionnées afin que celui-ci, ne se fasse qu'une idée limitée de ce qui ce passe réellement ( prenons l'exemple des Etats Unis et de la Syrie ). Nous sommes conditionnés à penser que nous faisons partis du camp des justes et des bons car cela facilite les choix et le mode de vie des gens, c'est un comportement issue de notre société capitaliste et immoral.
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S
Lors de conflit gouvernemental, nous ne pouvons pas vraiment avoir une image claire de la gravité d’une situation politique. Notre gouvernement nous montre seulement ce qu’il veut bien nous monter : «il est difficile d’affirmer de manière absolue qu’un camp a raison et l’autre a tort. Surtout quand […] on reçoit la propagande de son camp […] comme seule source d'information.» Comme Rousseau nous dit, nous sommes trompés par nos dirigeants, nous devons obéir à notre puissance sans tenir compte de notre liberté de jugement, car nous faisons partie d’une association sociale qui influence et encourage nos façons de penser.
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F
La première chose qui me vient à l'esprit dans cette question est : qu'est ce que cela signifie, être bon ? En effet, avant même de répondre à la question je voulais identifier se qui ferais de quelqu'un un meilleur être en comparaison à un autre. Je dirais premièrement que se sont les (bon) eu même que se sont attribuer se titre de gens (bon). Des gens puissant ayant leur propre pensé qui se sont attribué que se qu'il faisais était (bon). Mais la question d'origine n'est toujours pas répondue : Sommes nous conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons ? Personnellement je pense qu'effectivement nous le sommes. Comme René Descartes à dit : l'homme doit conduire son esprit avec méthode et rigueur s'il veut accéder à la vérité et s'il veut agir selon le bien, mais il arrive que se ne soit pas si facile et que l'homme soit influencé par son entourage et la société qui évolue avec sa propre pensé autour de lui influençant l'homme et ses pensées à travers l'évolution de celui-ci. On pourrais maintenant se dire qu'effectivement en réalité nous ne sommes pas vraiment les gentils nous sommes simplement un groupe qui croit être bon et juste alors que les enemies ceux de l'autre côté de ligne sont nécessairement mauvais et méchant puisque qu'il ne partage pas les idées de notre société. La seule réelle façon de percevoir le clan des bons et des méchants serais de voir le point de vue d'un être extérieur à tous conflit qui peut analyser tout les bons et les mauvais coups et facteurs de chacun des groupes de manière totalement impartial. Pour conclure, effectivement selon moi et selon semblerait-il René Descartes, nous sommes conditionnés à être dans le camp des justes et des bons.
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L
Commentaire intéressant! Attention aux fautes de français...
M
Si on se fie aux enseignements de René Descartes, quelqu’un qui croit faire partie des gentils alors qu’il se pourrait très bien qu’il soit réellement dans le camp adverse ne serait pas assez rationnel: il ferait plus confiance à ses sens (la morale qu’il entend depuis sa naissance) qu’à sa raison (fruit de l’analyse des faits qu’on lui présente). Pour faire l’examen de cette question, il faudrait s’en remettre à la méthode cartésienne que ce penseur a développé. Tout d’abord, la règle de l’évidence vient justifier cette démarche: le fait que nous soyons du côté des bons ne serait pas nécessairement incontestable pour un extra-terrestre, impartial à la situation, à qui on présenterait tous les bons et mauvais coups des acteurs d’un conflit. Ensuite, la règle de l’analyse provoque un questionnement sur plusieurs sujets: qu’est-ce que ça signifie, être bon? Y a-t-il toujours un côté meilleur que l’autre dans une guerre? Peut-on se servir des actions de gouvernements passés pour juger de la bienveillance d’un pays de nos jours? La règle du dénombrement nous ferait revoir tout ce qui a été entrepris par les pays ou coalitions ayant pris part à un conflit, alors que la règle de la synthèse nous aiderait à assembler les réponses aux dernières questions pour en arriver à une réponse définitive. Déterminer si nos amis du sud sont réellement du bon côté de l’histoire serait un projet bien trop ambitieux pour ce paragraphe. Or, c’est peut-être bien vrai: si ce n’était pas le cas, pourquoi ce pays a-t-il, depuis plusieurs années, un bilan migratoire nettement positif? Mais n’est-ce pas suspect qu’il soit désormais bien accepté que c’est positif pour l’humanité que la guerre de sécession ait été gagnée par les états du Nord, et les deux guerres mondiales ainsi que la guerre froide par les États-Unis?
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L
Tu dois écrire un commentaire entre 150 et 200 mots...
M
Non, le pays gagnant n'est pas nécessairement du «bon» côté du conflit. Cependant, s'il a combattu, c'est parce qu'il croyait l'être. Après la victoire, c'est ce sentiment qu'il essaie de répendre.
L
Un pays qui gagne une guerre fait-il nécessairement partie des justes et des bons?
M
Je pense que ce jeux des gentils et des méchants est dépassé. En effet nous sommes de le camps de qui nous voulons bien être. Puisque ce n'est pas parce que nous appartenons à un pays que l'on est obligé d'adhérer à l'idée principale du pays. Effectivement comme le précise Nietzsche la pensée humaine n'est pas faite pour être arrêter à des barrières si futile que notre pays d'appartenance.Nous sommes libre décideur de notre avenir et de notre pensé ainsi que du choix d'idéologie auquel on souhaite adhérer. De plus, nous sommes sans cesse aveuglé par le stata quasi dictatorial du gouvernement c'est pourquoi nous avons toujours cru les bonnes actions car notre gouvernement nous cachait la deuxième face du conflit.
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C
Je dirais que c’est dans la nature humaine de croire que nous agissons pour le bien de tous. Plusieurs évènements historiques pourraient être cités ici, mais prenons par exemple l’invasion de la Pologne par l’Allemagne en 1939. La presse allemande a accompli un travail incroyable afin de convaincre les Allemands des supposées démarches de la Pologne pour renversé le pays. Les soldats qui ont participé à ses premières frappes étaient tout simplement convaincu du bien-fondé de leurs actions. Sachant maintenant les plans réels d’Hitler à ce moment, il peut paraître idiot d’avoir cru à ses balivernes. Pourtant, selon Burrhus Frederic Skinner, les actions de l’être humain sont guidées par les conditions de vie dans lesquelles il a évolué et son environnement actuel. En suivant ce principe, la population, constamment encouragée à ressentir de la peur et de l’angoisse face à un ennemi, invisible ou non, croira aux risques d’invasion, fictif, dans le cas de l’exemple. Selon Skinner, l’être humain est conditionné à effectuer une série de comportements et à croire en une autorité. Il croit que l’homme n’a pas la possibilité d’être libre de ses choix et que les actions ne seraient qu’un enchaînement de causes à effets. En bref, il est clair pour Skinner que les êtres sont « programmés » à croire qu’ils font les bonnes actions.
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D
Je crois malheureusement que oui. La société qui nous enseigne dès notre plus jeune âge à croire que ses lois sont justes et donc qu'elle est dans le bon camp. Selon Nietzsche, le refus des restrictions et des règles morales implantées par la société est très important car il mène notre vie et nous empêche d'exprimer notre esprit critique. Celui-ci énoncerait le concept de bon ou de mauvais camp. Selon lui le bien et le mal n'existe pas. Le plus important à notre société régie par des lois est de définir nous-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal. Par exemple, certaines personnes pourraient dire que de ne pas faire d'arrêt obligatoire est bien. Mais la société impose à chaque citoyen, malgré leur façon de penser, d'arrêter obligatoirement, pour leur bien et le bien des autres citoyens. Selon Nietzsche, nous sommes libres d'effectuer l'arrêt ou non. Nous devons exprimer notre esprit critique face à cette loi imposée et décider nous-mêmes si l'on doit faire cet arrêt.
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R
On ne se le cachera point : les guerres font partie de l’histoire. Pour diverses raisons, le monde en vient aux armes et part au front. Cependant qui sont les bons et qui sont les méchants? N’avons-nous pas toujours l’impression d’être les gentils? En outre, sommes-nous seulement conditionnés à faire partie du camp des justes? Si on se réfère à Frederic Skinner, il est évident que oui. En effet, selon lui, l’être humain est une créature tout à fait malléable qui est influencée par son environnement. Ainsi, d’après sa philosophie, puisque les comportements que nous adoptons sont des réactions à des stimuli, il serait facile de les contrôler; en quelque sorte, on pourrait réarranger l’environnement pour y conditionner des gens afin de leur faire croire que leurs actes sont pour le mieux, quand en réalité, ils résultent que de catastrophes. Donc si on se rapporte à l’article, dans un point de vue plutôt large, les États-Unis sont nos voisins et font par le fait même partie de notre environnement : ils sont nos partenaires et nous aident aussi dans notre économie, ce qui nous incite à croire davantage qu’ils sont du bon clan, puisque c’est sécurisant. De plus, les personnalités célèbres ainsi que les médias sociaux sont aussi notre environnement et il est prouvé qu’ils exercent une énorme influence sur la population. Ne contribueraient-ils pas à notre conditionnement? Finalement, il est évident que si Skinner était toujours des nôtres, il affirmerait que nous ne sommes pas libres d’y donner notre opinion, puisque celle-ci est programmable et c’est ainsi que nous sommes portés à croire que nous faisons toujours partie du bon clan.
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J
L'humain est un être qui fait face à nombreux préjugés et qui est influencé dès sa naissance par son environnement et les moraux qui l'entoure, et ce n'est pas là une idée qui date d'hier. Effectivement, selon Burrhus Frederic Skinner, important psychologue américain du XXe siècle, l'homme se trouve à être un être programmable ou une créature malléable. Ainsi, en réagissant à différents stimulus de notre environnement, on en vient à associer certains comportements au bien et d’autres au mal. Évidemment, après avoir lu l’article, on réalise que la même chose se produit sur le plan politique. D’où survient la réflection suivante: sommes-nous conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons? Skinner affirmerait que oui. Peu importe nos valeurs et nos influences, dans tous les conflits auxquels nous allons faire face dans notre vie, notre conception de ce qui est juste et correct sera biaisée par absolument tout ce qui nous a été enseigné, comment nous avons grandi, dans quel contexte nous avons été élevés… Il est facile d’en venir à la conclusion que dans un conflit, forcément, les deux camps croient avoir raison. Je vois donc la justesse de l’un des messages de l’article, de toujours se remettre en question et de se demander si nos gestes reflètent vraiment la justice et le bon sens. En réponse à la question de la chouette et en prenant en considération l’article et les idées de Skinner, je trouve tout à fait raisonnable d’affirmer que oui, nous sommes conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons. Nous avons beau nous croire libres de faire nos propres choix, ce sera toujours l’environnement qui contribuera à déterminer nos comportements et, par conséquent, nos sentiments. Soulignons par contre avec espoir que selon Skinner, cette croyance serait réversible en utilisant de notre côté les principes du béhaviorisme et d’exposer la face cachée du problème actuel dont nous parle l’article.
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G
Depuis des temps, nos dirigeants nous cachent des informations pour « notre propre sécurité », ce qui nous porte souvent à regarder que les bienfaits de notre société. Mais, avant d’arriver à ce moment, nous sommes dans l’état de nature, c’est-à-dire notre nature originale sans que la civilisation l’ait pervertie, comme le dit Rousseau. On se définit par la liberté, ce qui nous rend susceptible d’être transformé et donc, il est très dur de rester intact psychologiquement avec tout ce que la société nous oblige à croire. Ainsi, l’homme est devenu peu à peu un produit de la culture et de l’histoire. Dès lors sont apparus l’amour-propre, la propriété et les lois protégeant les intérêts et les privilèges des riches. Il faut mentionner que nous ne voulons pas en connaître davantage, nous voulons le bien que de notre petit nombrils. Il est donc difficile de pouvoir s’informer correctement avec notre société et notre entêtement. Ce qui nous amène évidemment à croire tout ce qu’on voit, lit et entend, à propos que nous faisons partie du camp des justes et des bons.
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L
Dès sa naissance, l’humain fait face à plusieurs idées préconçues. Si son entourage ne s’indigne pas à leur sujet et y adhère, il peut avoir lui-même tendance à y adhérer naturellement. Par contre, si on prend le temps de s’attarder à certaines de ces dernières, on peut rapidement être surpris de leur aberration. C’est effectivement le cas de l’idée que nous avons que nos voisins et alliés les États-Unis jouent le rôle de police mondiale. En fait, ce pays serait plutôt la terreur mondiale, comme il est décrit dans cet article. Ce qui est surprenant, c’est qu’il ne nous est jamais arrivé de douter de ce dernier. Ceci étant dit, sommes-nous conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons? Si Skinner avait à répondre à cette question, il dirait qu’évidemment, nous le sommes. Ceci s’explique par sa doctrine psychologique nommée « behaviorisme » selon laquelle notre comportement, nos croyances, sont le résultat d’apprentissages effectués au contact de l’environnement. En effet, dans un premier temps, les États-Unis sont nos voisins et alliés depuis très longtemps, ce qui nous pousse à avoir peu de doute à leur sujet. Dans un deuxième temps, l’image qu’ils projettent par leurs gestes posés, tel que par exemple la frappe en Syrie sensée être un geste politique bénéfique pour la population syrienne, n’a fait qu’augmenter notre confiance envers eux. Par-dessus cela, les médias et nos dirigeants y contribuent en étant dans leur camp. Conséquemment, nous sommes conditionnés à croire à notre tour faire partie de ce camp juste et bon. En somme, notre allié est un intimidateur qui ne pense qu’à ses propres intérêts tout en étant un très bon manipulateur puisque nous y voyons que du feu. Par contre, selon Skinner, il serait possible de renverser cette croyance qu’a notre société à ce sujet en utilisant à notre tour les principes du behaviorisme. Par exemple, les médias et/ou des publicités pourraient promouvoir la face cachée des États-Unis.
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W
Personnellement, quand j'ai lu cet article, il met venue en tête l'un des grands philosophes de l'époque moderne, Sigmund Freud. En effet, quand on se remémore la théorie dynamique de la personnalité de Sigmund avec le ça, le moi et le sur-moi, on remarque que Donald Trump semble être régis que par le ça. Un bon exemple de cela sont ses > dit quelques années plus tôt et qui ont refait surface durant la campagne électorale et que je ne crois pas nécessaire de redire. En effet, ses paroles semblaient tout droit sortit de son Ca et de ses besoins primaires de s'accoupler que du sur-moi, qui supposer être la conscience morale puisque avouons le, ces paroles sont totalement immoral, ou du moi qui semble tout aussi absent dans les agissements de Donald puisque le moi est supposé freiner les ardeurs du ça. Malheureusement, ceci n'est pas le seul exemple que le nouveau président des États-Unis est régit par le ça soit les plaisir personnelle et primaire et donc, qu'il ne se sert pas de sa tête pour diriger. En effet, sa contre-frappe contre la Syrie à l'aide de 59 missiles Tomahawk pour détruire un aéroport qui n'avait aucun lien avec l'attaque au gaz sarin en est un exemple frappant. Absence de technique militaire, absence de réflexions, pure et simple vengeance et qui comble de malheur, semble démontrer qu'il est dirigé plus par Thanatos que par Éros. Et ce n'est pas tout ! Les nombreux tweets incendiaires de Donald à n'importe qu'elle heure prouve bien que Donald est un homme de pulsions. Il n'est pas content ? Il a quelque chose à dire ? Paf ! Un tweet sur l'émotion du moment, pulsion de vengeances ou de frustrations. D'autre part, selon l'idéologie freudienne, l'homme idéal est un être affranchi de la domination de ses pulsions et donc, toujours selon cette idéologie, Donald Trump n'est donc pas du tout l'homme idéal et sera plus porter à défendre ses intérêts personnels : mais il est président.... Peut-être qu'un peu de psychanalyse lui ferait du bien ?
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A
Sommes-nous conditionnés à croire faire partie du camp des justes et des bons? Après avoir lue cette question, le mot qui nous reste en tête est conditionné. C’est à se demander si nous sommes réellement libres de nos choix et de nos croyances. Selon Frédéric Skinner, l’homme est une créature malléable, donc programmable. L’humain autonome est tout simplement une fiction dont il faut se détacher. Nous croyons être libres de nos choix, mais en vérité c’est l’environnement qui détermine le comportement qui à son tour détermine les sentiments. Les pensées et les sentiments sont le résultat introduit par le comportement, et non la cause de celui-ci. Au final, c’est donc notre environnement autant physique que social, qui détermine notre comportement. Par conséquent, l’homme est contrôlé par un environnement qu’il a lui-même construit de ses propres mains. Pour répondre à la question, oui nous sommes conditionné à croire faire partie du camp des justes et des bons par notre environnement. Nous sommes des hommes malléable, donc programmable.
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S
M. Trump ne peut que me faire penser à une idéologie de Nietzsche, "la volonté de puissance" . Un homme qui veut tout et être par-dessus tout est évidemment très dangereux. Luc Marchand, l'auteur de l'article en question, critique plusieurs thèmes et actions que pose le président de notre pays voisin. Nietzsche est un philosophe critique, il apprécie donc tout remettre en question comme l'auteur le fait dans l'article. Si l'on approfondit, les relations entre les États-Unis et le Canada étaient très bonnes auparavant mais depuis l'arrivé du nouveau président, certaines tensions sont apparues. C'est parce que, selon notre philosophe, Trump pourrait être placé dans la classe des "forts". C'est ceux qui osent vivre peu importe ce que les autres disent d'eux et qui n'ont "peur de rien" si on veut. Il se voit probablement comme le surhomme exemplaire, avec des idéologies que tout le monde devrait avoir. Il place donc tout ceux qui ne pensent pas comme lui dans le côté des "mauvais". Étant la première puissance mondiale, il a une grande influence et l'utilise malheureusement comme intimidation. Il est donc important de se rendre compte des méthodes utilisées par M. Trump en critiquant et en remettant tout en question pour ne pas se faire avoir par un jeu politique subtile.
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